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PORTRAIT – Cook Strummer, chanteur-compositeur

logo cook strummerNom/prénom ou pseudo : Max « Cook Strummer » Donnet
Age : 26
Profession : Online Marketing Manager
Nationalité : belge
Site web : http://www.cookstrummer.com/
Page Facebook : https://www.facebook.com/cookstrummer

Cook Strummer est une étoile montante de la scène berlinoise : il est à la fois compositeur, chanteur et musicien. D’origine bruxelloise, ses morceaux aux tonalités oniriques et sa recherche incessante d’esthétisme au travers de la musique lui promettent très certainement un bel avenir !

“Le beau existe dans toute chose”

 1 # Qu’est-ce qui t’a amené à Berlin ?
J’ai débarqué à Berlin il y a un an, de manière très spontanée. Pourtant c’est pas mon genre d’agir sur un coup de tête, mais cette fois-là, jusqu’à la dernière minute, je doutais.
La raison officielle était que je devais mener à terme mes études à travers un stage de Master, mais derrière cette excuse se cachait mon envie de me fondre dans cette colossale masse créative qui donne vie à Berlin. Suite à mon stage, je suis finalement resté et Berlin m’a adopté.

2 # Cinq mots qui décrivent Berlin et qui te viennent directement à l’esprit

  • Orgies
  • Intemporel
  • Crade
  • Créatif
  • Eldorado

3 # Peux-tu me décrire ton parcours musical en quelques mots ?
J’ai débuté la musique très jeune, avec une formation classique. Vers 14 ans, à l’internat du collège Saint Paul de Godinne (et oui, le même que Stromae), je débute la guitare et commence à composer et écrire mes premières chansons en français. A 18 ans, je joue dans divers groupes, allant du garage rock au brit pop. Arrivé à Berlin, je m’essaie à la musique electronique, puis reviens très vite à mes premières amours : un mix de chanson française et de pop anglaise.

Découvrez l'artiste Cook Strummer

@Cook Strummer

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War Requiem de Benjamin Britten au Konzerthaus de Berlin

War Requiem au Konzerthaus

CC BY-SA, Konzerthaus par Keriluamox, via Flickr

Libera me, Domine, de morte aeterna in die illa tremendo

Après avoir écouté le requiem grandiose et tragique de Verdi au Berliner Dom, nous avons été invités à venir écouter un autre requiem datant des années 60, bien moins classique et conventionnel : le War Requiem, composé par le britanique Benjamin Britten en hommage aux morts de la Guerre. Une amie choriste nous a fourni les tickets pour le concert au Konzerthaus, édifié en 1821 par Karl Friedrich Schinkel, sous le règne de Frédéric II de Prusse. Ce bâtiment néoclassique majestueux ressemble, à l’intérieur, à un véritable palace de princesses. J’ai été soufflée par tant de beauté et de noblesse quand je suis entrée dans la salle de concert : elle était blanche, dorée et très lumineuse avec ses énormes chandeliers éblouissant, son orgue éclatant de lumière, ses décorations murales et ses statues aux proportions grecques. Bref, j’ai été subjuguée.

Entres lithurgies célestes et chants terrestres

My subject is war, and the pity of war, the Poetry is in the pity… All a poet can do today is warn (Wilfred Owen).

Composé d’un choeur de femmes, d’hommes et d’enfants, d’une soliste soprano, d’un soliste bariton,d’un soliste tenor et de deux orchestres (orchestre de chambre et grand orchestre), ce concert était très exaltant : pas une seule minute d’ennui et des mélodies très surprenantes qui vous donnaient la chair de poule. En effet, le requiem a été écrit en hommage aux morts de la guerre et décrit notamment la misère, la pitié, la mort, la mélancolie et la tristesse. C’était puissant et violent parfois et simplement magnifique : les chants lithurgiques en latin interprété par les choeurs et la soliste se mélangeaient aux chants en Anglais interprétés par le bariton et le tenor. Les lithurgies avaient quelque chose de céleste et de magnificient, au delà de la mort, alors qu’au contraire, les chants anglophones étaient très terre à terre et très tristes, dénoncant la misère des combats sur le champs de bataille. Britten mélange le cérémonial du requiem romain à la poésie du poète anglais Wilfred Owen, ce qui créé un véritable anachronisme musical. Le Requiem dénonce toutes les guerres du monde depuis la fin des temps, de manière métaphorique. Si vous décidez d’aller voir ce concert fabuleux, sortez vos mouchoirs, lacrimosa dies illa ! L’accoustique était bien meilleure qu’au Berliner Dom, toutefois pas aussi claire qu’au Philarmonique de Berlin. En attendant, vous pourrez écouter le concert de chez vous ici :

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5 choses à faire l’hiver à Berlin – Part # 2

Voici la suite de cet article qui vous énoncera 5 nouvelles choses à faire l’hiver à Berlin !

6 # Tenter le Sauna tout nu

Vous pouvez tenter le sauna, véritable tradition hivernale qui vous réchauffera et aura des effets super relaxants sur votre corps comme sur votre esprit. Attention, le maillot de bains est interdit !

Aller au Sauna

BB CY – Another view of #Liquidrom par sfslim, via Flickr

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5 choses à faire l’hiver à Berlin – Part # 1

A Berlin, même l’impossible est possible ! Je vous donne cinq chose à faire l’hiver à Berlin, que vous soyez de passage ou que vous y habitiez (on a jamais fini de découvrir !) et que malgré le froid, vous désirez quitter votre couette chérie pour voir le monde extérieur. Je vous révèle toutes mes meilleures adresses (Après si vous en connaissez des meilleures adresses, n’hésitez pas à me le mettre en commentaire).

1 # Boire du vin chaud sur les marchés de Noël

Depuis le premier décembre, les petits marchés de Noël, grande tradition allemande, pullulent dans Berlin. C’est l’occasion de boire un bon vin chaud (avec schnaps), d’acheter des chaussettes tricotées main et de se balader entre les petits stands illuminés. L’odeur des épices sent bon Noël !

Aller au marché de Noel

CC BY – Christmas in Berlin par Eirik Newth, via Flickr

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